Tutoyer la limite en qualif sur un circuit urbain avec une monoplace quatre roues motrices de 350 kW pour quelque 860 kg, équipée de pneus de série, c'est comment ?
C’est juste incroyable. On adore tous les circuits en ville, il faut y être super précis, utiliser chaque centimètre de bitume. Les monoplaces de Formule E sont dessinées pour ça, et avec les quatre roues motrices, l’équilibre, l’accélération, elles sont vraiment sympas. La qualification est évidemment toujours un moment fort du week-end, avec une belle montée d’adrénaline.
Quel est le meilleur moment de votre carrière en Formule E ?
J’ai connu beaucoup de grands moments en Formule E, mais si je devais n’en choisir qu’un, je dirais ma première victoire à Santiago en 2020. C’était mon premier succès en tant que professionnel et je m’en souviendrai toujours car c’est ce pourquoi j’ai toujours travaillé, c’était un rêve qui devenait réalité.
Quel est votre circuit favori toutes saisons confondues ?
C’est très simple, c’est Monaco. Pour l’histoire, la beauté du tracé. Monaco est indissociable de la course et tout pilote veut l’emporter dans les rues de la Principauté. En plus, c’est ma course à domicile depuis quelques années.